En France, des premières recommandations qui restent encore ponctuelles
Les travaux de l’Agence Nationale de Sécurité Sanitaire et de l’alimentation (Anses) sur les effets sanitaires du bisphénol A l’ont conduit à recommander en septembre 2011 une réduction des expositions de la population, notamment par sa substitution dans les matériaux au contact des denrées alimentaires. Elle a aussi proposé, au niveau européen dans le cadre de la réglementation REACH en 2012, un classement plus sévère du bisphénol A en tant que toxique pour la reproduction. En revanche aucune prise de position globale concernant les maladies environnementales n’a été exprimée par les autorités de santé françaises.